Ici nous mettrons en avant en priorité les actions de trois axes :

-La problématique de l’exploitation des êtres humains (exploitation du travail, abus de droits, réquisitionnent des logements vides etc)

-Les discriminations (sur la sexualité, le genre, le look, la couleur de peau, comme du poids etc)

-Les luttes pour les droits de la population LGBTIQ (lesbienne, gay, bis, trans, intersexe, queer).
Les problèmes liés au patriarcat et au machisme.

(Nos articles sont triés et tirés de différentes sources)

vendredi 30 juillet 2010

Dirty diaries


Avec ‘Dirty Diaries’ le cinéma suédois pousse encore d’un cran son goût pour la provocation. Financés par les fonds publics de l’Institut suédois du film et dirigés par la documentariste iconoclaste Mia Engberg, douze courts métrages invitent à repenser la pornographie sous l’angle du féminisme. Communément soumis et façonné par le regard masculin, le corps de la femme - particulièrement dans l’industrie du film pornographique - devient ici un enjeu éminemment culturel et politique. Dans ‘Dirty Diaries’, actrices et réalisatrices se réapproprient la sexualité féminine, prenant le contre-pied total de l’éternel poncif du mâle dominateur. Alors certes, une inégalité flagrante marque l’anthologie subversive. Entre véritable recherche esthétique et conceptuelle et pornographie gratuite, le collectif ondule irrégulièrement. Et pourtant… Non seulement les films ont le mérite d’envahir des domaines réservés aux hommes et aux hétérosexuels dans la représentation de la sexualité, tels l’exhibitionnisme (‘Flasher Girl on Tour’), le sadomasochisme (‘Authority’) ou encore la masturbation (‘Come Together’), mais ils participent aussi à élever la pornographie au rang d’art à part entière. C’est le cas de ‘Skins’, court métrage conceptuel dans lequel un homme et une femme se délivrent ensemble d’une fausse peau dans le but de redécouvrir et de partager l’union neuve et égale de leurs corps. Le collectif s’octroie aussi un film d’animation à la fois terriblement cru et franchement satirique, ‘Dildoman’, où le spectateur d’un peep-show devient soudain le sex toy de deux géantes. En dérobant à l’homme la seule part du cinéma qu’il dominait, le recueil pornographique made in Suède ne brille peut-être pas par son uniformité mais appelle, c’est certain, à la controverse et à la reconquête féminine de tout un pan du territoire culturel.

mardi 27 juillet 2010

Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme!

COMMUNIQUÉ DU NPA. "DÉPSYCHIATRISATION" DES PERSONNES TRANS : UN DÉCRET QUI NE RÉSOUT RIEN !

En mai dernier, la ministre de la Santé R. Bachelot avait annoncé la «dépsychiatrisation du transsexualisme», dont le décret vient de paraitre le 10 février. De quelle mesure s’agit-il ?

En réalité le décret prévoit, pour les personnes trans qui le souhaitent, une prise en charge dans le cadre d’une Affection Longue Durée (ALD) qui ne sera plus l’ALD 23 (dédiée aux affections psychiatriques). Au mois de mai, déjà, plusieurs associations trans et LGBT avait dénoncé avec raison un effet d’annonce un peu creux. Car si la décision est symbolique… elle ne change rien pour le moment aux conditions dégradantes et violentes de la prise en charge de la transidentité en France.

Le gouvernement, par cette mesure, se targue de placer la France parmi les pays les plus progressiste du monde pour les droits des personnes trans. Quelle hypocrisie! Les protocoles actuels, non remis en cause par Bachelot, imposent un suivi par un nombre très limité d’équipes médicales et psychiatriques, qui ont tous les pouvoirs pour décider à la place des trans. Les expertises médicales pratiquées dans ce cadre sont extrêmement pénibles et humiliantes, et l’accès au changement d’état civil reste soumis à la condition d’un suivi psychiatrique et d’une stérilisation.

Le cadre de ces protocoles a d’ailleurs été confirmé et renforcé dans le pré rapport de la Haute Autorité de Santé sur la prise en charge des trans diffusé au printemps 2009. Cette situation est inacceptable, et montre bien les limites du décret actuel.

Cette annonce très médiatisée s’inscrit dans un contexte plus qu’inquiétant du fait de la réduction des dépenses de santé imposée par le gouvernement: le changement d’ALD ne peut-il pas signifier à terme la fin du remboursement de certains soins? Par ailleurs, ce pays «si progressiste» refuse toujours de reconnaitre la transphobie comme une discrimination au même titre que le racisme, et donc sa prise en compte par la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations (HALDE). Pour répondre à cette annonce, il faut poursuivre la mobilisation contre l’ingérence de l’Etat et des psychiatres dans nos vies!

Le NPA est solidaire des revendications des associations et groupes trans qui revendiquentla dépathologisation de la transidentité. Nous revendiquons également: la liberté du changement de la mention de sexe à l'état-civil, l'arrêt des mutilations des enfants intersexes, le droit à disposer de son corps et l’autodétermination de genre.

CIP IDF

Appel à soutien financier

Continuons à lutter
pour de nouveaux droits collectifs !

Le protocole du 18 avril 2006 régissant l’assurance chômage des intermittents du spectacle est en application depuis le 1er avril 2007. Il supprime l’Allocation de Fonds Transitoire qui a permis plus de 40000 ouvertures de droits. Il entérine la logique du précédent, inadaptée aux pratiques d’emplois discontinus et dénoncée inlassablement depuis 6 ans.

Ces années de lutte nous ont appris que la destruction des annexes 8 et 10 est motivée parce qu’elles offraient un modèle alternatif à la précarisation. Précaires, chômeurs, intermittents, tous précarisés : tout un arsenal de dispositifs de contrôles et de contraintes à l’emploi est mis en place. On fabrique ainsi une nouvelle insécurité sociale faite de course aux cachets, d’acceptation de n’importe quel emploi, de peur du contrôle sous peine de se voir supprimer une allocation.

Nous avons enquêté, analysé, parlé, expliqué, discuté.

Nous avons manifesté au JT de 20H, à l’Assemblée Nationale, au CNC, sur le plateau de la Star Academy, au Sénat, aux Césars, aux Molières, sur les chaînes de télévisions, dans les théâtres, aux festivals d’Avignon, de Cannes, à la Villa Médicis à Rome, sur le toit du MEDEF, dans les antennes Assédic, chez les sous-traitants de l’Unédic et sur son toit, dans les ministères...

Nous avons investi un lieu à partir duquel il est possible de s’organiser et de travailler.

A travers des assemblées générales, des groupes de travail, des permanences sur l’application du protocole et la précarité, un journal (L’interluttants), ce site internet, des listes de discussions et d’information, des moments de partage, de réflexions et de convivialité comme l’Université ouverte, des ateliers-projections de films et des repas collectifs...

Pour continuer à construire, jour après jour, pour résister à la peur, à la lassitude, à l’indifférence et l’atomisation, nous avons besoin de fonds pour agir (et aussi couvrir les frais de procès en cours ou à venir : celui concernant l’occupation de Villa Médécis, comme la procédure d’appel que nous interjettons contre la CFDT)

Merci de faire circuler cet appel autour de vous.

Envoyez vos chèques à l’ordre de AIP
CIP-IdF : 14-16, quai de la Charente 75019 Paris
Sur votre demande une attestation peut vous être fournie.

Coordination des Intermittents et Précaires d’Ile-de-France
14-16, quai de la Charente 75019 Paris
01 40 34 59 74

mercredi 7 juillet 2010

Loi sur la parité?

Vers un nouveau projet de loi sur la parité...


Que va il changer??


La ministre déléguée à la Cohésion sociale et à la Parité, Catherine Vautrin, a annoncé mardi lors d'une convention de l'UMP sur les femmes, qu'elle allait bientôt présenter un projet de loi "instituant une obligation de parité dans les exécutifs" des grandes communes, des structures intercommunales et des régions. Ce projet de loi "augmentera également les sanctions financières prévues à l'encontre des partis politiques qui ne respecteraient pas la parité", a précisé la ministre.


En attendant, des statistiques parlent...

Les inégalités professionnelles hommes-femmes persistent en dépit de plusieurs lois et directives.


FORMATION

Les femmes représentent 55,57% de l'ensemble des étudiants (source: Insee, "regard sur la parité", Editions 2004). Avec des disparités selon les formations: les femmes représentent 77,10% des effectifs dans les écoles préparant aux fonctions sociales, mais seulement 23,49% des écoles d'ingénieurs.


CHOMAGE

Alors que les femmes repésentent 45,9% de la population active (26,161 millions de personnes) (Insee/Eurostat - chiffres pour 2002), le taux de chômage féminin était de 10,9% fin 2004, contre 9% chez les hommes.Chez les personnes immigrées, le taux de chômage des femmes est de 20% contre 17,3% pour les hommes étrangers.


EMPLOIS

"En 2003, parmi quatre millions d'actifs à temps partiel, 82% sont des femmes. Le temps partiel représente 29,8% des emplois féminins (5,4% des emplois masculins), selon un rapport remis début mars au gouvernement.78% des emplois non-qualifiés sont occupés par des femmes.


SALAIRES

Le rapport des salaires femmes/hommes est de 85% dans la fonction publique d'Etat et de 80% dans le secteur privé (Source: Insee, données pour 2001). La Commission des droits de la femme du Parlement européen évoque un écart de 25%. Chez les cadres, l'APEC (Association pour l'Emploi des Cadres) enregistre 21% d'écart de rémunération.


RESPONSABILITES

Les femmes "représentent moins de 10% des dirigeants d'entreprises et moins de 5% des membres des conseils d'administration" (APEC).

RETRAITES

Les retraitées femmes âgées de 65 ans et plus percevaient en 2001 une pension mensuelle moyenne de 606 euros de retraite contre 1.372 euros pour les hommes, selon le rapport remis en mars au gouvernement.Or, l'espérance de vie des femmes est plus longue que celle des hommes (83,8 ans contre 76,7 ans).


TEXTES EXISTANTS

- directive européenne du 23 septembre 2002 sur "la mise en oeuvre du principe de l'égalité de traitement entre hommes et femmes en ce qui concerne l'accès à l'emploi, à la formation et à la promotion professionnelles, et les conditions de travail".

- Loi de 1972 sur l'égalité de rémunération

- Loi Roudy sur l'égalité professionnelle de 1982 obligeant les entreprises à publier chaque année un rapport comparant les situation hommes/femmes et à proposer des "plans d'égalité".

- Loi Génisson de 2001 rendant obligatoire des négociations annuelles dans les entreprises sur l'égalité professionnelle. 72% des sociétés interrogées n'en ont jamais organisé, selon une enquête faite en décembre.

- Les partenaires sociaux ont signé en avril 2004 un accord interprofessionnel qui aborde l'équilibre des recrutements, l'accès renforcé des femmes à la formation continue et le souci d'égalité dans les évolutions de carrière, les salaires et le congé maternité. (différentes sources)

samedi 3 juillet 2010

Danser pour vaincre le colonialisme


Manifestation le 13 juillet, 50 ans de Françafrique, ça suffit !



50 ans de Françafrique, ça suffit

Arrêtons le soutient aux dictateurs ! Soutenons les peuples africains !





Le 14 juillet à Paris, des unités militaires de 14 pays africains défileront sur les Champs - Elysées, au côté des troupes françaises. Convoqués par Nicolas Sarkozy, les chefs d’État, amis de toujours de la France et des réseaux de la Françafrique : les Gnassingbé (Togo), Bongo (Gabon), Compaoré (Burkina Faso), Déby (Tchad), Sassou Nguesso (Congo Brazzaville), Biya (Cameroun) seront présents dans la tribune présidentielle.

Ceux-là, ainsi que d’autres dictateurs et putschistes, responsables pour certains du massacre d’une partie de leur population et du maintien de celle-ci dans la pauvreté, viendront s’assurer du soutien politique, économique et militaire et de leur enrichissement personnel auprès de leur ancienne puissance coloniale.

La France qui, durant la colonisation, avait abondamment pillé les ressources et utilisé les peuples comme réservoir de main d’oeuvre, poursuit depuis 50 ans sa politique par tous les moyens, au détriment du développement des pays concernés, ce qui amène de nombreux africains à migrer pour nourrir leurs familles.

Dans la plupart des pays concernés, les gouvernements de la France ont éliminé ou se sont rendus complices des assassinats de leaders qui ont combattu pour l’indépendance de leur pays comme Patrice Lumumba, Medhi Ben Barka, Félix Moumié, Ruben Um Nyobé, Ernest Ouandié, Thomas Sankara, Sylvanus Olympio, Farhat Hached…

Les autorités françaises ont mis en place des dictateurs, intégrés dans les réseaux de la Françafrique où ils côtoient l’Etat major de l’Armée, l’Elysée et des grandes entreprises comme Total, Bouygues, Bolloré, ou Areva. De l’Afrique de l’Ouest au Maghreb où Ben Ali et Mohamed VI prospèrent sur le dos de leurs peuples, l’héritage du colonialisme est toujours présent.

Aujourd’hui encore, la plupart des élections dans ces pays sont truquées, les opposants souvent emprisonnés, parfois torturés ou assassinés, par ceux là même qui défileront le 14 juillet , avec la complicité des autorités françaises. A cette politique françafricaine s’ajoute une agriculture exportatrice européenne et la recolonisation des terres qui détruisent les productions locales, accélèrent le réchauffement climatique et contraignent les paysans africains à fuir les campagnes ou à migrer vers l’Europe. Cette « Europe Forteresse » qui fabrique des sans papiers, les exploite et les expulse sous couvert d’accords de réadmission codifiés dans la Directive Européenne de la Honte, au mépris de la Convention Européenne des Droits de l’Homme.

CONTRE :

- Le soutien de la France aux dictateurs qui vivent impunément des rapports néocoloniaux au détriment du développement de leurs pays et du bien-être des populations ;
- La torture, les massacres, les assassinats politiques, les trafics d’armes, et l’impunité de leurs auteurs et de leurs complices ;
- La vie chère et la hausse des produits de première nécessité en Afrique ;
- Le pillage du continent par les pays riches par le biais de leurs multinationales, de la Banque Mondiale et du FMI ;
- L’impunité, la criminalité financière et les paradis fiscaux et judiciaires ;
- La politique africaine de la France menée par Nicolas Sarkozy et ses prédécesseurs.

POUR :

- La démocratie et des élections libres et transparentes ;
- Le respect des droits humains ;
- L’annulation de la dette illégitime payée par les peuples africains ;
- L’accès de tous à l’alimentation, à l’eau, à la santé, à l’éducation, à l’emploi, à l’habitat, et à la justice ;
- Une vraie mobilisation contre le Sida et le paludisme ;
- La régularisation de tous les Sans Papiers : Grévistes en lutte depuis 8 mois et Marcheurs partis de Paris le 1er Mai pour aller interpeller les dictateurs africains réunis à Nice le 31 mai, tous ensemble unis et déterminés dans un combat commun ;
- La fermeture des bases militaires françaises en Afrique et l’arrêt de l’aide militaire et policière française aux dictateurs sous couvert d’Aide Publique au développement.

Nous, organisations françaises et africaines, exigeons un partenariat entre l’Europe et l’Afrique pour le développement et l’émancipation de l’Afrique hors de la tutelle du gouvernement français.

Manifestons contre la Françafrique !

Place de la République (Angle du Bd Magenta), Paris, le 13 juillet, à 18 h.

Premiers signataires : Sortir du Colonialisme, Survie, Union des Populations du Cameroun, CODE (Collectif des Organisations Démocratiques et Patriotiques de la Diaspora Camerounaise), CNR‐MUN (Conseil National pour la Résistance ‐ Mouvement Umnyobiste Cameroun/Allemagne), Mouvement panafricaniste de Munich (AK Panafrikanismus München), Fédération des Congolais de la Diaspora (Congo‐Brazzaville), ACTUS / prpe ( Tchad), CAAC Comores, Attac Gabon, PCOT, FTCR (Tunisie), La Voie Démocratique (Maroc), Comité pour le Respect des Libertés et des Droits Humains au Sahara Occidental (CORELSO), Collectif Gazy Tia Tanindrazana (GTT, Madagascar), ARD (Alliance Républicaine pour le Développement, Djibouti), Uguta‐Toosa (Djibouti), AFASPA, MRAP, Droits Devant, CEDETIM, IPAM, ACCA ‐ Agir aujourd’hui contre le Colonialisme, Afriques en lutte, Respaix Conscience Musulmane (RCM), Réveil des Consciences, « 93 au coeur de la République », L’Association Culturelle des Travailleurs Immigrés de Turquie (ACTIT), FASTI, Anges Gardiens du Gabon, Plate Forme de Veille et d’Actions pour le Gabon, Ministère de la Régularisation de Tous les Sans papiers, CNT, Union Syndicale Solidaires, les Alternatifs, NPA, Parti des Indigènes de la République (PIR), FASE, Parti de Gauche, PCF, Les Verts

jeudi 1 juillet 2010

Distributeurs de billets vers l'étranger?

Je vous laisse deux sources se prononçant sur la même affaire
à vous de juger...

première source

"A Paris, 27 distributeurs automatiques de la Poste, du Crédit Lyonnais, de la Société Générale et du CIC ont été mis hors service avec de l’acide sulfurique ou des coups de marteaux dans la nuit du 22 au 23 janvier. Des autocollants ont été apposés pour préciser que toutes ces banques balancent des sans-papiers aux flics.

Dans ces banques, des employés sous la demande de leur direction appellent en effet régulièrement les flics pour qu’ils viennent contrôler la validité des papiers de leurs clients. En toute conscience des conséquences que cela implique pour leurs clients sans-papiers, ils les livrent aux préfectures. Le plus souvent ces sans-papiers se retrouvent en garde à vue, puis enfermés dans un centre de rétention avant d’être expulsés. Parfois ils risquent aussi la prison.

Ces banques, en plus de s’enrichir sur l’exploitation (une banque reste une banque !), participent à l’effort national de chasse aux indésirables. Comme tout un chacun, les sans-papiers sont obligés d’ouvrir un compte en banque, de prendre les transports en commun, de se déplacer, de se rendre en préfecture pour la paperasse... Tous ces moments deviennent des points de frontières : autant d’occasion de se faire balancer, contrôler, rafler. Si les conséquences ne sont pas toujours les mêmes, avec ou sans papiers, nous subissons tous l’exploitation et le contrôle.

Parce que l’indignation n’a jamais suffit, sabotons la machine à expulser !"
Source : Indymedia lille

deuxième source

Une unité d'élite de la brigade criminelle spécialisée dans les faits terroristes enquête depuis décembre sur des sabotages en série de distributeurs automatiques de billets de la BNP et de La Banque postale, et pense avoir à faire à des militants d'extrême-gauche, a-t-on appris mardi de source judiciaire, confirmant une information de RTL. Une quarantaine de distributeurs ont été sabotés avec de la colle, de l'acide, à coups de masse ou encore incendiés depuis début décembre à Paris et en province, notamment à Grenoble. Des slogans ont été portés sur les distributeurs sabotés, qui reprochent aux deux banques concernées d'avoir dénoncé des étrangers sans papiers titulaires de comptes, et les opérations ont été revendiquées sur un site internet présenté comme proche de la mouvance de l'extrême gauche, indymedia.org.

ça balance chez europe 1

Jeunes feministes

Journée de rencontre des jeunes féministes

Organisée par "Osez le féminisme"

Osez le féminisme organise une journée de rencontre, de débat et de travail avec les jeunes associations féministes le samedi 3 juillet 2010. L'objectif est de pouvoir échanger sur l'actualité, sur nos modes d'action, sur les sujets qui nous occupent et sur les façons de faire avancer le féminisme dans la société.


Le programme de la journée

9:00 Accueil

9:30 Présentation des associations féministes présentes

10:30 Trois ateliers au choix
• Quel rapport au genre aujourd'hui?
• Féminisme et mixité
• Quels moyens d'ac#on du féminisme?

BUFFET 12:30 - 14:00

14:00 Cinq ateliers au choix
• Egalité professionnelle, avec Rachel Silvera, chercheuse au MAGE
• Avortement, avec la CADAC
• Sexualité avec le Mouvement Français pour le Planning Familial
• Le viol, avec le Collectif féministe contre le viol
• Laïcité avec Chahla Chafiq, écrivaine

16:15 Table ronde : Quelles perspectives de travail en commun ?

18:00 Clôture de la journée


Les infos pratiques

La rencontre aura lieu à l'Université Paris 6, 2 place Jussieu - Paris 5ème
Métro Jussieu

Participation financière (pour financer les transports de province et le déjeuner) : salariées 10 € et étudiantes/chômeuses 5 €


S'inscrire à la rencontre